Outre les textes en cours d’examen au Parlement, comme celui sur l’agriculture ou le narcotrafic, le gouvernement entend avancer sur la fin de vie d’ici le mois de juin. Pour le prochain budget, François Bayrou a pour objectif « la réforme de l’Etat ». Pour trouver des pistes d’économies, il compte s’appuyer sur la commission…
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2025, entame une nouvelle phase de son parcours législatif à partir de ce lundi 3 février, avec un examen en nouvelle lecture à l’Assemblée nationale.
Le Premier ministre, François Bayrou, a annoncé samedi 1er février à « La Tribune Dimanche » sa décision de faire usage de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter par l’Assemblée les budgets de l’État et de la Sécurité sociale.
Sept députés et sept sénateurs se réunissent jeudi pour accoucher d’une version commune du projet de loi de finances. Même s’ils y parviennent, son adoption par le Parlement n’est pas garantie.
Dans ce contexte, “le rapport de force entre recruteurs et candidats s’annonce moins favorable aux cadres”, estime l’Apec.
Le Premier ministre François Bayrou, qui espère toujours échapper à la censure, a détaillé les grandes lignes de sa position lundi soir lors d’une longue interview télévisée très attendue sur LCI.
Le budget de la Sécurité sociale est a nouveau examiné par la Commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale à partir de ce lundi.
Le Sénat a adopté l’ensemble du projet de loi de finances 2025, dont l’examen a été marqué par les coups de rabot de dernière minute du gouvernement, une méthode dénoncée par les sénateurs. Au total, les économies supplémentaires votées par le Sénat s’élèvent à 6,3 milliards d’euros. Le texte va maintenant partir en commission mixte…
Ce jeudi 23 janvier 2025, les sénateurs vont procéder au vote du budget avant la prochaine étape en commission mixte paritaire.
A la recherche de nouvelles économies, le gouvernement multiplie les amendements de dernières minutes au Sénat pour raboter les budgets. « Il n’y a plus vraiment de débat. On avance brutalement », dénonce l’écologiste Thomas Dossus. A droite aussi, ces conditions sont pointées du doigt.
