Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale est arrivé dans l’hémicycle du Sénat ce mercredi 19 novembre. Les élus auront sept jours pour faire atterrir ce budget, dont l’examen est resté inachevé à l’Assemblée nationale. La majorité sénatoriale de droite et du centre promet quelque 9 milliards d’euros d’économies, pour ramener à…
DetailsUne telle loi spéciale autoriserait l’État à percevoir les impôts existants, tandis que ses dépenses seraient gelées par décret, en attendant le vote d’un réel budget, comme ce fut le cas début 2025 après la censure du gouvernement de Michel Barnier.
Avec la généralisation récente du télétravail, on aurait pu imaginer que le coût par salarié d’un poste de travail baisse significativement Qu’en est il ?
DetailsLe projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) arrive mercredi au Sénat, où la suspension de la réforme des retraites devrait être remise en cause par la droite. L’examen du texte doit durer sept jours avec un vote prévu le 26 novembre.
Dans un courrier commun, les syndicats et les organisations patronales (hormis le Medef) appellent Sébastien Lecornu à abandonner explicitement le cadrage financier qui avait été communiqué en août par le gouvernement Bayrou pour fixer les économies souhaitées sur l’assurance chômage.
Les députés ont décidé mercredi de suspendre l’application de la réforme menée en 2023, lors de l’examen du budget de la Sécurité sociale. Le Sénat, à majorité de droite, va maintenant tenter de s’y opposer jusqu’au bout.
Après deux jours de pause, le débat budgétaire reprend à l’Assemblée nationale. Les députés doivent boucler, ce mercredi 12 novembre, la troisième et dernière partie du projet de loi de finances de la Sécurité sociale, ce qui a peu de chance d’aboutir, car il reste un nombre élevé d’amendements à examiner. Le débat, très attendu,…
DetailsLe texte a été largement remanié par rapport à la version proposée par le gouvernement. L’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale va se poursuivre sur le volet dépenses, qui comprend l’article suspendant la réforme des retraites.
L’Assemblée nationale a rejeté, ce jeudi 6 novembre, la taxe de 8 % sur les titres-restaurant, chèques-vacances, ou encore les chèques-cadeaux, qui était prévue dans le projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026. De manière unanime, les députés ont jugé que cette mesure allait nuire aux pouvoirs d’achat des salariés.
Selon l’Insee, l’emploi salarié dans le secteur privé a reculé de 0,3% au troisième trimestre. Une baisse due aux deux tiers à celle des contrats en alternance alors que l’État a réduit la voilure sur les aides à l’embauche d’un apprenti.